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a) Préface |
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Texte original |
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Traducteur : Jean-Pierre VIDAL |
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Ce chapitre contient 1 page
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25.04.2001 - Version 0.2 : - Mise en forme du code html (armel). 19.08.2000 - Version 0.1 : - Dernière mise à jour de la version française Traducteur : - Jean-Pierre VIDAL Texte original : - Thinking in Java, 2nd edition, Revision 10 © 2000 by Bruce Eckel
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Preface
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Préface
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I suggested to my brother Todd,
who is making the leap from hardware into programming, that the next big
revolution will be in genetic engineering.
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J'ai suggéré à mon frère Todd, qui est en train de migrer du
hardware vers le software, que la prochaine grande révolution serait l'ingénierie
génétique.
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We’ll have microbes designed to
make food, fuel, and plastic; they’ll clean up pollution and in general
allow us to master the manipulation of the physical world for a fraction of what
it costs now. I claimed that it would make the computer revolution look small in
comparison.
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Nous créerons bientôt des organismes dédiés à la fabrication de nourriture,
de carburant, de plastique ; ils digéreront la pollution et, de manière générale, nous
permettront de maîtriser la manipulation du monde réel, ceci pour un coût minime comparé à celui
d'aujourd'hui. J'ai prétendu que la révolution informatique serait vraiment peu de chose au regard
de cela.
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Then I realized I was making a mistake
common to science fiction writers: getting lost in the technology (which is of
course easy to do in science fiction). An experienced writer knows that the
story is never about the things; it’s about the people. Genetics will have
a very large impact on our lives, but I’m not so sure it will dwarf the
computer revolution (which enables the genetic revolution)—or at least the
information revolution. Information is about talking to each other: yes, cars
and shoes and especially genetic cures are important, but in the end those are
just trappings. What truly matters is how we relate to the world. And so much of
that is about communication.
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Puis j'ai réalisé que j'étais en train de commettre une erreur triviale
chez les auteurs de science-fiction : oublier le propos de la technologie (ce qui est
évidemment très facile à faire en science-fiction). Un écrivain expérimenté sait qu'on ne raconte
jamais une histoire à propos de choses, mais de gens. La génétique aura un très grand impact sur
nos vies, mais je ne suis pas persuadé qu'elle éclipsera la révolution informatique (qui d'ailleurs
rend possible la révolution génétique) — ou au moins la révolution de l'information.
L'information, c'est essentiellement se parler les uns les autres : bien entendu, les
voitures, les chaussures, et surtout les maladies génétiques sont importantes, mais en définitive
ce ne sont que des faux-semblants. La vrai question est notre relation au monde. Ainsi en est-il de
la communication.
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This book is a case in point. A majority
of folks thought I was very bold or a little crazy to put the entire thing up on
the Web. “Why would anyone buy it?” they asked. If I had been of a
more conservative nature I wouldn’t have done it, but I really
didn’t want to write another computer book in the same old way. I
didn’t know what would happen but it turned out to be the smartest thing
I’ve ever done with a book.
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Ce livre est un cas. Une majorité d'amis pensa que j'étais soit vraiment
hardi soit légèrement dérangé pour mettre tout cela sur le Web. « Pourquoi quelqu'un
voudrait-il l'acheter ? » me disaient-ils. Si j'avais eu un tempérament plus
conservateur, je ne m'y serais pas pris de cette manière ; en réalité je ne voulais pas écrire
un livre supplémentaire de style traditionnel sur les ordinateurs. Je ne savais ce qui en aurait
résulté si je n'avais pas agi ainsi, mais en tout cas ce fut la meilleure chose que j'ai jamais
réalisée avec un livre.
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For one thing, people started sending in
corrections. This has been an amazing process, because folks have looked into
every nook and cranny and caught both technical and grammatical errors, and
I’ve been able to eliminate bugs of all sorts that I know would have
otherwise slipped through. People have been simply terrific about this, very
often saying “Now, I don’t mean this in a critical way...” and
then giving me a collection of errors I’m sure I never would have found. I
feel like this has been a kind of group process and it has really made the book
into something special.
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Tout d'abord, chacun commença à m'envoyer des correctifs. Ce fut un
processus très amusant, parce que mes amis avaient fureté dans chaque coin et recoin et repéré les
erreurs techniques aussi bien que grammaticales, ce qui me permit d'éliminer les fautes de toutes
sortes que j'aurais laissé passer sans cela. Dans ce travail, ils ont été tout simplement
formidables, commençant très souvent par me dire « bon, je ne dis pas ça pour
critiquer... » pour me mettre ensuite sous le nez un ensemble d'erreurs que je n'aurais jamais
été capable de trouver par moi-même. Je crois que ce fut une espèce de travail de groupe, et cela a
réellement ajouté quelque chose de spécial à ce livre.
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But then I started hearing “OK,
fine, it’s nice you’ve put up an electronic version, but I want a
printed and bound copy from a real publisher.” I tried very hard to make
it easy for everyone to print it out in a nice looking format but that
didn’t stem the demand for the published book. Most people don’t
want to read the entire book on screen, and hauling around a sheaf of papers, no
matter how nicely printed, didn’t appeal to them either. (Plus, I think
it’s not so cheap in terms of laser printer toner.) It seems that the
computer revolution won’t put publishers out of business, after all.
However, one student suggested this may become a model for future publishing:
books will be published on the Web first, and only if sufficient interest
warrants it will the book be put on paper. Currently, the great majority of all
books are financial failures, and perhaps this new approach could make the
publishing industry more profitable.
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Mais ensuite, j'ai commencé à entendre ceci : « OK, très bien,
c'est bien gentil vous avez fait une version électronique, mais moi j'aurais préféré une version
complète imprimée chez un vrai éditeur ». Alors j'ai beaucoup travaillé afin que chacun puisse
l'imprimer dans un format adéquat, mais cela n'a pas suffi à résorber la demande d'un livre
« publié ». La plupart des gens n'ont pas envie de lire le livre à l'écran dans son
intégralité, et l'idée de transporter un paquet de feuilles volantes, même impeccablement
imprimées, ne leur conviendrait pas davantage (de plus, je pense que ce n'est pas forcément
économique en terme de toner). Après tout il semblerait que la révolution informatique ne risque
pas de mettre les éditeurs au chômage. Un étudiant suggéra toutefois que cela pourrait servir de
modèle pour l'édition du futur : les livres seraient d'abord publiés sur le Web, et, à
condition qu'ils rencontrent un certain intérêt, on les coucherait sur papier. Actuellement, une
grande majorité de livres représentent des désastres financiers, et cette nouvelle approche
pourrait peut-être rendre l'industrie de l'édition plus rentable.
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This book became an enlightening
experience for me in another way. I originally approached Java as “just
another programming language,” which in many senses it is. But as time
passed and I studied it more deeply, I began to see that the fundamental
intention of this language is different from all the other languages I have
seen.
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Ce livre a été par ailleurs une expérience enrichissante pour moi. Ma
première approche de Java fut « juste un nouveau langage de programmation », ce qu'il est
de fait par ailleurs. Mais, le temps passant, et au fur et à mesure que je l'étudiais plus en
profondeur, je commençais à m'apercevoir que son propos fondamental était différent de celui de
tous les langages que j'avais connu auparavant.
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Programming is about managing complexity:
the complexity of the problem you want to solve, laid upon the complexity of the
machine in which it is solved. Because of this complexity, most of our
programming projects fail. And yet, of all the programming languages of which I
am aware, none of them have gone all-out and decided that their main design goal
would be to conquer the complexity of developing and maintaining
programs[1]. Of
course, many language design decisions were made with complexity in mind, but at
some point there were always some other issues that were considered essential to
be added into the mix. Inevitably, those other issues are what cause programmers
to eventually “hit the wall” with that language. For example, C++
had to be backwards-compatible with C (to allow easy migration for C
programmers), as well as efficient. Those are both very useful goals and account
for much of the success of C++, but they also expose extra complexity that
prevents some projects from being finished (certainly, you can blame programmers
and management, but if a language can help by catching your mistakes, why
shouldn’t it?). As another example, Visual Basic (VB) was tied to BASIC,
which wasn’t really designed to be an extensible language, so all the
extensions piled upon VB have produced some truly horrible and unmaintainable
syntax. Perl is backwards-compatible with Awk, Sed, Grep, and other Unix tools
it was meant to replace, and as a result is often accused of producing
“write-only code” (that is, after a few months you can’t read
it). On the other hand, C++, VB, Perl, and other languages like Smalltalk had
some of their design efforts focused on the issue of complexity and as a result
are remarkably successful in solving certain types of problems.
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Programmer, c'est gérer la complexité : complexité du problème que
l'on veut résoudre, superposée à la complexité de la machine sur laquelle il va être résolu. Bien
des projets de programmation ont avorté à cause de cette complexité. Je voudrais maintenant dire
que, de tous les langages de programmation que je connaisse, aucun n'a été conçu pour gérer la
complexité du développement et de la maintenance de programmes [1].
Bien entendu, dans la conception des langages, beaucoup de décisions ont été prises en gardant la
complexité présente à l'esprit, mais, dans chaque exemple et à partir d'un certain moment, d'autres
problèmes ont surgi qui furent considérés comme essentiels et par suite intégrés à la mixture.
Fatalement, ces nouveaux problèmes furent de ceux qui envoyèrent finalement les programmeurs
« droit dans le mur » avec ce langage. Par exemple, C++ se devait de posséder une
compatibilité ascendante avec C (afin de favoriser la migration des programmeurs C), ainsi qu'une
certaine efficacité. Ces deux buts étaient très utiles et ont grandement participé au succès de
C++, mais dans le même temps ils ont généré une complexité supplémentaire qui a eu pour résultat
d'empêcher certains projets d'arriver à terme (bien entendu, vous pouvez toujours vous en prendre à
la responsabilité des programmeurs et/ou de leur encadrement, mais, si un langage pouvait vous
aider à repérer vos erreurs, pourquoi ne le ferait-il pas ?). Autre exemple, Visual Basic (VB)
était lié à BASIC, lequel n'était pas vraiment conçu comme un langage extensible, et par suite
toutes les extensions superposées à VB se sont traduites par une syntaxe vraiment horrible et
impossible à maintenir. Perl a une compatibilité ascendante avec Awk, Sed, Grep ainsi que d'autres
outils Unix qu'il était censé remplacer, le résultat est qu'il est souvent accusé de produire du
« code-à-écrire-seulement » (c'est à dire qu'on est incapable de se relire quelques mois
plus tard). D'un autre côté, C++, VB, Perl, et d'autres langages comme Smalltalk, de par leur
conception, ont abordé le problème de la complexité, et par là se révèlent remarquablement
efficaces dans la résolution de certains types de problèmes.
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What has impressed me most as I have come
to understand Java is what seems like an unflinching goal of reducing complexity
for the programmer. As if to say “we don’t care about
anything except reducing the time and difficulty of producing robust
code.” In the early days, this goal has resulted in code that
doesn’t run very fast (although there have been many promises made about
how quickly Java will someday run) but it has indeed produced amazing reductions
in development time; half or less of the time that it takes to create an
equivalent C++ program. This result alone can save incredible amounts of time
and money, but Java doesn’t stop there. It goes on to wrap all the complex
tasks that have become important, such as multithreading and network
programming, in language features or libraries that can at times make those
tasks trivial. And finally, it tackles some really big complexity problems:
cross-platform programs, dynamic code changes, and even security, each of which
can fit on your complexity spectrum anywhere from “impediment” to
“show-stopper.” So despite the performance problems we’ve
seen, the promise of Java is tremendous: it can make us significantly more
productive programmers.
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Ce qui m'a le plus frappé alors que je commençais à comprendre Java est
quelque chose qui s'apparente à l'incroyable finalité de diminuer la complexité pour le
programmeur. Un peu comme si l'on disait « rien n'est important, mis à part réduire le
temps et la difficulté pour produire un code robuste ». Dans les premières versions de Java,
cette finalité s'est traduite par un code qui ne tournait pas très vite (bien que l'on ait fait de
nombreuses promesses concernant la vitesse de Java) mais il n'empêche que cela a réduit le temps de
développement de manière stupéfiante : la moitié, ou moins, du temps nécessaire à la création
d'un programme équivalent en C++. Ce seul résultat pourrait déjà se traduire par une incroyable
économie de temps et d'argent, mais Java ne s'arrête pas là. Il s'attache à encapsuler toutes les
tâches complexes qui ont pris de l'importance, comme le multithreading et la programmation réseau,
au moyen de fonctionnalités du langage ou de bibliothèques rendant parfois ces tâches triviales. Et
pour finir, il traite quelques problèmes d'une réelle complexité : programmes
multi-plate-forme, changements dynamiques de code, sans oublier la sécurité, chacun d'entre eux
pouvant s'adapter à votre gamme de difficultés, depuis un « obstacle » jusqu'à un
« point bloquant ». Ainsi, malgré les problèmes de performance que nous avons vus, les
promesses de Java sont énormes : il est capable de faire de nous des programmeurs encore plus
productifs.
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One of the places I see the greatest
impact for this is on the Web. Network programming has always been hard, and
Java makes it easy (and the Java language designers are working on making it
even easier). Network programming is how we talk to each other more effectively
and cheaper than we ever have with telephones (email alone has revolutionized
many businesses). As we talk to each other more, amazing things begin to happen,
possibly more amazing even than the promise of genetic
engineering.
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Le Web est l'un des lieux où cela se révèle le plus. La programmation
réseau a toujours été difficile, et Java la rend facile (et les concepteurs du langage Java
travaillent à la rendre encore plus facile). La programmation réseau, c'est ce qui fait que nous
parlons entre nous de manière plus pertinente et meilleur marché que nous ne l'avons jamais fait
avec le téléphone (l'email à lui seul a révolutionné bien des entreprises). Alors que nous nous
parlons de plus en plus, des choses sensationnelles commencent à émerger, peut-être plus
incroyables que celles promises par l'ingénierie génétique.
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In all ways—creating the programs,
working in teams to create the programs, building user interfaces so the
programs can communicate with the user, running the programs on different types
of machines, and easily writing programs that communicate across the
Internet—Java increases the communication bandwidth between people.
I think that perhaps the results of the communication revolution will not be
seen from the effects of moving large quantities of bits around; we shall see
the true revolution because we will all be able to talk to each other more
easily: one-on-one, but also in groups and, as a planet. I've heard it suggested
that the next revolution is the formation of a kind of global mind that results
from enough people and enough interconnectedness. Java may or may not be the
tool that foments that revolution, but at least the possibility has made me feel
like I'm doing something meaningful by attempting to teach the
language.
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Dans tous les cas — en créant des programmes, en travaillant en
groupe pour créer des programmes, en concevant des interfaces utilisateur permettant aux programmes
de dialoguer avec l'utilisateur, en faisant tourner des programmes sur différents types de machine,
en écrivant facilement des programmes qui communiquent au travers de l'Internet — Java
accroît la bande passante de la communication entre les gens. Je pense que le but de la révolution
de la communication n'est certainement pas de transmettre de grandes quantités de bits ; la
vraie révolution sera là lorsque nous serons tous capables de nous parler plus facilement : de
personne à personne, mais aussi en groupe, et, pourquoi pas, sur la planète entière. J'ai entendu
dire que la prochaine révolution verra l'émergence d'une espèce d'esprit global associant un grand
nombre de personnes à un grand nombre d'interconnexions. Il se peut que Java soit, ou pas, l'outil
de cette révolution, mais en tout cas cette possibilité m'a fait comprendre qu'il n'était pas
insensé de tenter d'enseigner ce langage.
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Preface to the 2nd edition
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Préface à la 2ème édition
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People have made many, many wonderful
comments about the first edition of this book, which has naturally been very
pleasant for me. However, every now and then someone will have complaints, and
for some reason one complaint that comes up periodically is “the book is
too big.” In my mind it is faint damnation indeed if “too many
pages” is your only complaint. (One is reminded of the Emperor of
Austria’s complaint about Mozart’s work: “Too many
notes!” Not that I am in any way trying to compare myself to Mozart.) In
addition, I can only assume that such a complaint comes from someone who is yet
to be acquainted with the vastness of the Java language itself, and has not seen
the rest of the books on the subject—for example, my favorite reference is
Cay Horstmann & Gary Cornell’s Core Java (Prentice-Hall), which
grew so big it had to be broken into two volumes. Despite this, one of the
things I have attempted to do in this edition is trim out the portions that have
become obsolete, or at least nonessential. I feel comfortable doing this because
the original material remains on the Web site and the CD ROM that accompanies
this book, in the form of the freely-downloadable first edition of the book (at
www.BruceEckel.com). If you want the old stuff, it’s still there,
and this is a wonderful relief for an author. For example, you may notice that
the original last chapter, “Projects,” is no longer here; two of the
projects have been integrated into other chapters, and the rest were no longer
appropriate. Also, the “Design Pattens” chapter became too big and
has been moved into a book of its own (also downloadable at the Web site). So,
by all rights the book should be thinner.
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Les lecteurs de la première édition de ce livre ont fait énormément de
commentaires élogieux à son propos, ce qui m'a été très agréable. Toutefois de temps à autres l'un
ou l'autre s'est plaint, et l'une des critiques récurrentes est « le livre est trop
gros ». Dans mon esprit, je dois dire que si « trop de pages » est votre seule
plainte, c'est une faible critique (on se souvient de l'empereur d'Autriche se plaignant du travail
de Mozart : « trop de notes ! », mais n'allez pas penser que je cherche d'une
manière ou d'une autre à me comparer à Mozart). De plus, je peux seulement supposer qu'une telle
demande provient d'une personne qui en est encore à prendre conscience de l'étendue du langage Java
lui-même, et qui n'a pas encore vu ou lu les autres livres traitant du sujet — par
exemple, ma référence favorite, Core Java de Cay Horstmann & Gary Cornell
(Prentice-Hall), qui a tellement grossi qu'on a dû le scinder en deux volumes. Malgré cela, une des
choses que j'ai essayé de faire dans cette édition a été d'éliminer les parties obsolètes, ou tout
au moins non essentielles. Je n'ai pas eu de scrupules en faisant cela car l'original existe
toujours sur le site Web ainsi que sur le CD ROM qui accompagne ce livre, sous la forme de la
première édition du livre, librement téléchargeable (http://www.BruceEckel.com). Si c'est
l'ancienne version qui vous intéresse, elle existe encore, et ceci est un merveilleux soulagement
pour un auteur. Par exemple, vous pouvez remarquer que le dernier chapitre de l'édition originale,
« Projects », a disparu ; deux des projets ont intégré d'autres chapitres, et le
reste n'avait plus d'intérêt. Pareillement, le chapitre « Design Patterns », devenu trop
gros, a fait l'objet d'un livre séparé (également téléchargeable sur le site Web). Ainsi,
logiquement, le livre devrait être plus mince.
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But alas, it is not to
be.
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Mais, hélas, il n'en sera pas ainsi.
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The biggest issue is the continuing
development of the Java language itself, and in particular the expanding APIs
that promise to provide standard interfaces for just about everything
you’d like to do (and I won’t be surprised to see the
“JToaster” API eventually appear). Covering all these APIs is
obviously beyond the scope of this book and is a task relegated to other
authors, but some issues cannot be ignored. The biggest of these include
server-side Java (primarily Servlets & Java Server pages, or JSPs),
which is truly an excellent solution to the World Wide Web problem, wherein
we’ve discovered that the various Web browser platforms are just not
consistent enough to support client-side programming. In addition, there is the
whole problem of easily creating applications to interact with databases,
transactions, security, and the like, which is involved with Enterprise Java
Beans (EJBs). These topics are wrapped into the chapter formerly called
“Network Programming” and now called “Distributed
Computing,” a subject that is becoming essential to everyone. You’ll
also find this chapter has been expanded to include an overview of Jini
(pronounced “genie,” and it isn’t an acronym, just a name),
which is a cutting-edge technology that allows us to change the way we think
about interconnected applications. And of course the book has been changed to
use the Swing GUI library throughout. Again, if you want the old Java 1.0/1.1
stuff you can get it from the freely-downloadable book at
www.BruceEckel.com (it is also included on this edition’s new CD
ROM, bound into the book; more on that a little later).
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Le plus gros problème est le continuel développement du langage Java
lui-même, et en particulier l'extension de l'API qui nous promet de nous procurer une interface
standard pour tout ce que nous pourrions imaginer (et je ne serais pas surpris de voir paraître une
API « JCafetiere » pour couronner le tout). Le propos de ce livre n'est certainement pas
de parler de ces API, d'autres auteurs se chargeront de cette tâche, mais certaines questions ne
peuvent être ignorées. Parmi les plus importantes, Java « côté serveur » (principalement
les Servlets et les Java Server Pages, ou JSP), qui représentent réellement une excellente
solution au problème du World Wide Web, pour lequel nous avons découvert que les divers navigateurs
Web ne sont pas suffisamment consistants pour traiter la programmation côté client. En outre, un
problème reste entier, celui de créer facilement des applications qui se connectent à des bases de
données, qui supervisent des transactions, qui gèrent la sécurité, etc., ce que traitent les
Enterprise Java Beans (EJBs). Ces sujets se retrouvent dans le chapitre anciennement nommé
« Programmation Réseau », appelé maintenant « Informatique Distribuée », un
sujet qui est en passe de devenir essentiel. Ce chapitre a également grossi afin d'inclure une vue
d'ensemble de Jini (prononcez « djini », ce n'est pas un acronyme, mais un nom), qui est
une technologie de pointe permettant de concevoir différemment les interconnexions entre
applications. Et, bien entendu, le livre a évolué pour utiliser tout au long des exemples la
bibliothèque de composants graphiques Swing (GUI, Graphics User Interface, Interface Graphique
Utilisateur, NdT). Ici aussi, si vous vous intéressez aux anciennes versions Java 1.0/1.1, vous les
trouverez dans le livre que vous pouvez télécharger gratuitement à http://www.BruceEckel.com (et
qui est également inclus dans le CD ROM fourni avec cette nouvelle édition ; vous en saurez
davantage à ce sujet un peu plus tard).
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Aside from additional small language
features added in Java 2 and corrections made throughout the book, the other
major change is in the collections chapter (9), which now focuses on the Java 2
collections used throughout the book. I’ve also improved that chapter to
more deeply go into some of the important issues of collections, in particular
how a hash function works (so that you can know how to properly create one).
There have been other movements and changes, including a rewrite of Chapter 1,
and removal of some appendices and other material that I consider no longer
necessary for the printed book, but those are the bulk of them. In general,
I’ve tried to go over everything, remove from the 2nd edition
what is no longer necessary (but which still exists in the electronic first
edition), include changes, and improve everything I could. As the language
continues to change—albeit not quite at the same breakneck pace as
before—there will no doubt be further editions of this
book.
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Outre les quelques nouvelles fonctionnalités du langage Java 2 et les
corrections effectuées dans tout le livre, un autre changement majeur est le chapitre sur les
collections (chapitre 9), qui met maintenant l'accent sur les collections Java 2 utilisées tout au
long du livre. J'ai également amélioré ce chapitre pour traiter plus en profondeur certaines
facettes des collections, entre autres expliquer comment fonctionne une fonction de hashing (afin
que vous sachiez comment en créer une convenablement). Il y a eu d'autres changements, tels que la
réécriture du Chapitre 1, la suppression de quelques appendices ainsi que d'autres parties qui ne
me paraissent plus indispensables pour le livre imprimé, mais ce fut le plus gros des suppressions.
D'une manière générale, j'ai essayé de tout revoir, d'enlever de cette 2e édition tout
ce qui n'était plus indispensable (mais que l'on peut trouver sous la forme électronique de la
première édition), de traiter les modifications, et d'améliorer tout ce qui pouvait l'être. Comme
le langage continue d'évoluer — mais toutefois pas à la même allure vertigineuse
qu'auparavant — il ne fait pas de doute que de nouvelles éditions de ce livre verront le
jour.
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For those of you who still can’t
stand the size of the book, I do apologize. Believe it or not, I have worked
hard to keep it small. Despite the bulk, I feel like there may be enough
alternatives to satisfy you. For one thing, the book is available electronically
(from the Web site, and also on the CD ROM that accompanies this book), so if
you carry your laptop you can carry the book on that with no extra weight. If
you’re really into slimming down, there are actually Palm Pilot versions
of the book floating around. (One person told me he would read the book in bed
on his Palm with the backlighting on to keep from annoying his wife. I can only
hope that it helps send him to slumberland.) If you need it on paper, I know of
people who print a chapter at a time and carry it in their briefcase to read on
the train.
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Je dois m'excuser auprès de ceux qui persistent dans leur critique à propos
de la taille du livre. Que vous me croyiez ou non, j'ai travaillé dur pour le rendre plus mince.
Malgré sa taille, je pense qu'il existe assez d'alternatives pour vous satisfaire. D'une part, le
livre existe sous forme électronique (sur le site Web, ainsi que sur le CD ROM accompagnant ce
livre), ainsi lorsque vous prenez votre ordinateur portable vous pouvez également emporter le livre
sans supplément de poids. Si vous êtes réellement partisan de la minceur, il existe des versions
Palm Pilot (quelqu'un m'a dit qu'il lirait le livre au lit sur l'écran rétro-éclairé de son Palm
afin de ne pas déranger sa femme. Je ne peux qu'espérer que cela l'aidera à glisser dans les bras
de Morphée). Si vous le préférez sur papier, je connais des personnes qui impriment un chapitre à
la fois et l'emmènent dans leur attaché-case afin de le lire dans le train.
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Java 2
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Java 2
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At this writing, the release of
Sun’s Java Development Kit (JDK) 1.3 is imminent, and the proposed
changes for JDK 1.4 have been publicized. Although these version numbers are
still in the “ones,” the standard way to refer to any version of the
language that is JDK 1.2 or greater is to call it “Java 2.” This
indicates the very significant changes between “old
Java”—which had many warts that I complained about in the first
edition of this book—and this more modern and improved version of the
language, which has far fewer warts and many additions and nice
designs.
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Alors que j'écris ceci, la sortie de la version 1.3 du Java Development
Kit (JDK) de Sun est imminente, et les modifications proposées pour le JDK 1.4 ont été
publiées. Bien que ces numéros de version soient encore dans les « uns », la manière
standard de se référer à une version du JDK 1.2 ou supérieur est de l'appeler « Java 2 ».
Ceci souligne les modifications significatives entre le « vieux Java » — qui
possède beaucoup de verrues, ce que je critiquais dans la première version de ce livre —
et la nouvelle version du langage, améliorée et plus moderne, comportant bien moins de verrues et
beaucoup de compléments, ainsi qu'une conception agréable.
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This book is written for Java 2. I have
the great luxury of getting rid of all the old stuff and writing to only the
new, improved language because the old information still exists in the
electronic 1st edition on the Web and on the CD ROM (which is where
you can go if you’re stuck using a pre-Java-2 version of the language).
Also, because anyone can freely download the JDK from java.sun.com, it means
that by writing to Java 2 I’m not imposing a financial hardship on someone
by forcing them to upgrade.
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Ce livre est écrit pour Java 2. J'ai la grande chance de dominer l'ancien
langage et de n'écrire que pour le nouveau langage amélioré, parce que l'ancienne information
existe encore dans la 1re édition sur le Web et sur le CD ROM (ce qui représente votre
source d'information si vous utilisez une version antérieure à Java 2). D'autre part, et parce que
n'importe qui peut librement télécharger le JDK depuis java.sun.com, cela signifie qu'en écrivant
sur Java 2 je n'oblige personne à une contrainte budgétaire élevée en lui imposant une mise à
jour.
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There is a bit of a catch, however. JDK
1.3 has some improvements that I’d really like to use, but the version of
Java that is currently being released for Linux is JDK 1.2.2. Linux (see
www.Linux.org) is a very important development in conjunction with Java, because
it is fast becoming the most important server platform out there—fast,
reliable, robust, secure, well-maintained, and free, a true revolution in the
history of computing (I don’t think we’ve ever seen all of those
features in any tool before). And Java has found a very important niche in
server-side programming in the form of Servlets, a technology that is a
huge improvement over the traditional CGI programming (this is covered in the
“Distributed Programming” chapter).
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Il y a toutefois une nuance. JDK 1.3 possède quelques améliorations que
j'aimerais réellement utiliser, mais la version de Java actuellement fournie pour Linux est le JDK
1.2.2. Le système Linux (voir http://www.Linux.org) est un développement très important en
conjonction avec Java, parce qu'il est en train de devenir rapidement la plus importante
plate-forme serveur — rapide, fiable, robuste, sécurisée, bien maintenue, et gratuite,
une vraie révolution dans l'histoire de l'informatique (je ne me souviens pas avoir jamais
rencontré l'ensemble de ces fonctionnalités dans aucun outil auparavant). Et Java a trouvé une très
importante niche dans la programmation côté serveur sous la forme des Servlets, une
technologie qui est une énorme amélioration de la programmation CGI traditionnelle (ceci est décrit
dans le chapitre « Informatique Distribuée »).
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So although I would like to only use the
very newest features, it’s critical that everything compiles under Linux,
and so when you unpack the source code and compile it under that OS (with the
latest JDK) you’ll discover that everything will compile. However, you
will find that I’ve put notes about features in JDK 1.3 here and
there.
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Aussi, malgré le fait que j'aimerais n'utiliser que les toutes nouvelles
fonctionnalités de Java, il est essentiel que l'ensemble puisse être compilé sous Linux, et donc
que lorsque vous installerez le code source et que vous le compilerez sous cet OS (avec le dernier
JDK) vous puissiez constater que l'ensemble peut être compilé. Toutefois, vous verrez que le texte
est parsemé çà et là de notes à propos des fonctionnalités du JDK 1.3.
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The CD ROM
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Le CD ROM
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Another bonus with this edition is the CD
ROM that is packaged in the back of the book. I’ve resisted putting CD
ROMs in the back of my books in the past because I felt the extra charge for a
few Kbytes of source code on this enormous CD was not justified, preferring
instead to allow people to download such things from my Web site. However,
you’ll soon see that this CD ROM is different.
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Un autre bonus de cette édition est le CD ROM que vous trouverez à la fin
du livre. J'ai naguère rejeté cette idée, pensant que mettre quelques Ko de code source sur cet
énorme CD n'était pas justifié, et préféré à cela que les gens le téléchargent depuis mon site Web.
Cependant, vous allez voir tout de suite que ce CD ROM représente autre chose.
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The CD does contain the source code from
the book, but it also contains the book in its entirety, in several electronic
formats. My favorite of these is the HTML format, because it is fast and fully
indexed—you just click on an entry in the index or table of contents and
you’re immediately at that portion of the book.
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Le CD contient le code source que l'on trouve dans le livre, mais il
contient aussi l'intégralité du livre, sous différents formats électroniques. Mon préféré est le
format HTML, parce qu'il est rapide et complètement indexé — vous cliquez simplement sur
une entrée de l'index ou de la table des matières et vous vous retrouvez immédiatement à l'endroit
voulu dans le livre.
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The bulk of the 300+ Megabytes of the CD,
however, is a full multimedia course called Thinking in C: Foundations for
C++ & Java. I originally commissioned Chuck Allison to create this
seminar-on-CD ROM as a stand-alone product, but decided to include it with the
second editions of both Thinking in C++ and Thinking in Java
because of the consistent experience of having people come to seminars without
an adequate background in C. The thinking apparently goes “I’m a
smart programmer and I don’t want to learn C, but rather C++ or
Java, so I’ll just skip C and go directly to C++/Java.” After
arriving at the seminar, it slowly dawns on folks that the prerequisite of
understanding C syntax is there for a very good reason. By including the CD ROM
with the book, we can ensure that everyone attends a seminar with adequate
preparation.
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Toutefois la plus grande partie des 300 Mo du CD consiste en un ensemble
multimédia complet nommé Thinking in C : Foundations for C++ & Java. A l'origine,
j'avais délégué à Chuck Allison la création de ce « séminaire sur CD ROM » en tant que
produit à part entière, puis j'ai décidé de l'inclure dans les secondes éditions de Thinking in
C++ et de Thinking in Java après avoir vécu, lors d'un séminaire, l'arrivée de
personnes dépourvues de connaissances suffisantes en langage C. Leur propos était apparemment
« je suis un bon programmeur et je n'ai pas envie d'apprendre le C, mais plutôt C++
ou Java, c'est pourquoi je compte passer rapidement sur C pour aller directement à C++/Java ».
Peu après leur arrivée au séminaire, ils prennent conscience que le prérequis de la connaissance de
la syntaxe du C se trouve là pour d'excellentes raisons. En incluant le CD ROM dans le livre, nous
nous assurons que chaque participant à un séminaire a une préparation suffisante.
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The CD also allows the book to appeal to
a wider audience. Even though Chapter 3 (Controlling program flow) does cover
the fundamentals of the parts of Java that come from C, the CD is a gentler
introduction, and assumes even less about the student’s programming
background than does the book. It is my hope that by including the CD more
people will be able to be brought into the fold of Java
programming.
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Le CD permet également d'élargir l'audience du livre. Même si le chapitre 3
(Contrôle du flux de programme) traite de parties fondamentales de Java provenant du langage C, le
CD est une introduction en douceur, et à l'inverse du livre suppose de la part de l'étudiant une
moindre connaissance de la programmation. Le CD étant inclus dans le livre, j'espère que davantage
de personnes intégreront le cercle de la programmation Java.
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I take this back on the 2nd edition: I believe that the Python
language comes closest to doing exactly that. See
www.Python.org.
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[1]j'ai enlevé ceci de la
2ème édition : je pense que le langage Python est très proche de faire exactement
cela. Voir http://www.Python.org.
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